Compositeur: Haendel
Chant Lyrique
Air de SuzanneDe l'oratorio Suzanne de Haendel A propos de la traduction de ce texte, on remarquera que, sans doute selon la tradition des chansons populaires d'autrefois, ce texte possède un subtile double sens. Douter que la rose nouvelle parfume le verger, C'est douter que Suzanne est belle aux yeux de son berger. Oui, c'est douter que Suzanne est belle aux yeux de son berger, Douter que la rose nouvelle, embaume le verger. C'est douter que Suzanne est belle aux yeux de son berger, aux yeux de son berger. Ou : C'est l'apologie du charme, convoité, de Suzanne, de sa fraicheur et de son « innocence »
Suzanne, quand l'autour sauvage dans les bois chantera, Quand l'oiseau fuira le bocage, ton berger t'oubliera. Quand l'oiseau fuira le bocage, ton berger t'oubliera. Suzanne, quand l'autour sauvage, au vallon chantera, Quand l'oiseau fuira le bocage, alors on t'oubliera, alors on t'oubliera. Ou : Lorsque la nature t'aura fait céder à un amant séducteur, ce dernier ne s'intéressera plus à toi une fois qu'il aura eu tes faveurs.
Au fort le butin de la guerre, le vain orgueil au Roi, Au barde un laurier séculaire, et ma Suzanne à moi ! Au barde un laurier séculaire et ma Suzanne à moi ! Au fort le butin de la guerre, un vain orgueil au Roi, Au barde un laurier séculaire et ma Suzanne à moi et ma Suzanne à moi ! Ou : Ne sois pas une conquête !
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